Le vélo au cœur d’un triptyque de mobilité « marche-vélo-transport » pour décarboner la mobilité

C’est incontestable ! Le vélo est une mobilité propre et verte. Il ne pollue pas l’environnement. Il réduit les ralentissements dus aux bouchons et il désencombre les espaces publics. En fait, le vélo se trouve au cœur du triptyque de mobilité « marche-vélo-transport » pour décarboner la mobilité.

Avantages du vélo par rapport à la marche

Contrairement à la marche, le vélo permet de parcourir plusieurs kilomètres et de gagner du temps. Il est effectivement possible de pédaler sur un trajet assez long, voire même de voyager à vélo.
C’est pour cela que de nombreux particuliers empruntent les pistes cyclables et/ou les voies vertes tous les jours pour aller travailler, pour aller à l’école, pour faire les courses et/ou pour se promener. C’est également pour cette raison que les coursiers et les livreurs accomplissent leur mission à vélo. C’est un moyen de transport et non un simple mouvement comme la marche.
Par ailleurs, le vélo permet aussi de se déplacer rapidement. Il permet de parcourir une distance de 10 km en seulement 35 minutes, contre environ 2 h pour la marche. En outre, il est vrai que ces deux types de mobilités permettent de préserver la planète, mais le vélo s’avère être plus pratique que la marche.

Avantages du vélo par rapport aux autres moyens de transport

Pour ce qu’il en est des autres moyens de transport, il n’y a pas plus intéressants que le vélo. La voiture, par exemple, est un véhicule polluant fonctionnant avec du carburant et engendrant beaucoup de gaz à effet de serre. Elle ne permet pas de se déplacer sans argent et elle est fortement assujettie à des problèmes d’embouteillages. Ainsi, elle met donc beaucoup plus de temps à parcourir un trajet en ville et elle encombre les routes.
Certes, il existe de nos jours des voitures électriques qui sont considérées comme plus propres. Mais il ne faut pas oublier que ces véhicules fonctionnent avec de l’énergie, notamment avec de l’électricité. Et tant qu’il ne s’agit pas d’énergies renouvelables, ces véhicules restent polluants et gaspillent.
La différence avec les vélos à assistance électrique, c’est le fait qu’il s’agisse de véhicule hybride. Cette catégorie de vélo associe justement l’énergie du cycliste à celle d’un moteur électrique. Au-delà de 6 km/h, il doit être activé par l’utilisateur. Puis, il se coupe de manière automatique dès qu’il atteint la vitesse de 25 km/h. Bien sûr, le VAE peut rouler encore plus vite, mais son moteur n’est plus autorisé à fonctionner. Ce qui limite sa consommation en énergie.